Institut Cervantes (Paris)
Commissariat : Antonio Gallego, Kiko Herrero, Bernard Marcadé, Roberto Martinez
ENTRE CHIEN ET LOUP Le-noyau expose Sorbonne Artgallery
(Alain Bernardini, Véronique Boudier, Frédéric Héritier, Véronique Hubert, Valérie Jouve, Roberto Martinez).
Sur le Fil / Démunition 2
En cours (Paris)
Le Noyau participe aux "Multiple Art Days"
14, 15 & 16 Septembre 2018 Monnaie de Paris
Vous pourrez y découvrir "La Boîte Rouge" avec les oeuvres de Alain Bernardini, Roberto Martinez, Véronique Boudier, Valérie Jouve, Frédéric Héritier, Véronique Hubert... et d'autres surprises.
Il y a peu :
POINGS SUSPENDUS
SUR UNE PROPOSITION DU GROUPE LE NOYAU
(Alain Bernardini, Frédéric Héritier, Roberto Martinez, Valérie Jouve, Véronique Boudier, Véronique Hubert) EXPOSITION COLLECTIVE POINGS SUSPENDUS DU 31 MAI AU 30 JUIN 2018.VERNISSAGE LE JEUDI 31 MAI À PARTIR DE 16H JUSQU’À 20H.
Sommes-nous juste avant (l’événement)? Sans le nommer.Ça va arriver? Avant il y a la détente. Une détente ça peut partir à tout moment.En attente… et puis!Retenus, empêchés (r), remplacés.Suspendus… pour mieux revenir. Suspendus… à nos lèvres (à l’action). Ça peutfaire mal.
Avec :
Véronique Hubert, Paul-Armand Gette, Ninar Esber, Alain Bernardini, Cédric Mazet Zaccardelli, Clarisse Hahn, Frédéric Héritier, Jean-Luc Moulène, Chimène Denneulin, Roberto Martinez, Annette Messager, Raphaël Boccanfuso, Valérie Jouve, Philippe Guitton, Flavie Pinatel, Véronique Boudier, Grégoire Motte, Moine de la non existence de la pensée http://le-noyau.net/
Il y a peu :
et
RIKIKI
Micro-maxi Show proposé par Joël Hubaut
Vernissage samedi 17 mars
Exposition jusqu'au 11 avril 2018
et
Le noyau au Point éphémère :
Il y a peu :
A Nopoto 2017 :
Couple Hossegor 2017 (format 40 x 60 cm)
Il y a peu :
Nuit européenne des musées
Musée de la Chasse et de la Nature (20 mai 2017, Paris) voir
Performance sonore autour des « Métamorphoses l’Âne d’or d’Apulée »
par Frédérique Lecerf et Roberto Martinez.
Présence durant 4h30 d’une « louve » dans la salle du Cerf et du Loup avec composition musicale ( Frédérique Lecerf, voix - Roberto Martinez, musique)
et carte postale (500 ex) en libre service et masques d’âne et loup à disposition des visiteurs.
Plus c’est Facile plus c’est beau
Frac Montpellier
Du 10 février au 25 mars 2017
Présentation du projet « LE NOYAU »
Samedi 5 et Dimanche 6 novembre |
34, rue Edouard Robert, 75012 Paris
à La petite fabrique d'Art |
IV Biennale art contemporain de Yakutsk 2016 >voir
En route pour participer à la BY-16 (IVème Biennale internationale d’art contemporain à Yakutsk, Sibérie)
Exposition temporaire (2016 métro parisien en cours) (ᐳvoir):
Nouvelles séries d’images (ᐳvoir):
Nouvelle vidéo (ᐳvoir)
Nouvelle vidéo (ᐳvoir)
Il y a peu :
Dernières expositions :
En ce moment :
Collage Un nous à la XIIIe. Biennale de Lyon "Veduta", Givors, novembre 2015
et aussi
Exposition temporaire 3 (Métro parisien 2015) >voir
Il y a peu:
Et toujours temporairement : >voir
Nouvelle parution :
Un article dans Figures de l’art 28
Il y a peu : Voir vues de l’exposition
Populaire populaire #3 - dans le cadre du Mois de la photo OFF 2014 (les 20 ans).
Exposition collective (commissaire Emilie Akli et Roberto Martinez)
du 1er au 30 nov. prochain au 6B et hors les murs à Saint-Denis
Avec la participation de :
Emilie Akli, Alain Bernardini, Raphaël Boccanfuso, Valérie Jouve, Claude Lévêque, Clémentine Mélois, Bernard Marcadé, Roberto Martinez, Tania Mouraud, Régis Perray, Françoise Quardon, Eric Tabuchi, Vue du Gras collectif.
et aussi :
- une programmation dédiée au cinéma l’Ecran de la ville de Saint Denis.
- des interventions artistiques dans la ville sous la forme d'affichages urbains.
- projections de diaporamas, films et vidéos au 6B.
- un projet de Drive-in proposé par Emilie Schalck (artiste et commissaire indépendant).
- 4 cartes blanches d’une semaine autour de la thématique de Populaire, populaire confiées à : Denis Gueville, Vue du gras, Marie-Dominique Dhelsing, Fredde Rotbart et Manu Thuret.
- des rencontres, des signatures, des ateliers et visites guidées seront également proposés.
Il y a peu :
et
A revoir :
Exposition temporaire (Métro parisien 2009-2014) (voir)
Nouvelles éditions :
Edition de Kontakt # 8 (mars 2014)
Transmission Annual 2013 : Labour Work Action
Rencontre-exposition :
Exposition :
Dernière série de photographie :
voir >
Dernière édition :
BERNARD MARCADÉ / ROBERTO MARTINEZ (Revue Kiosk n° 54)
http://www.kiosk.clementineroy.com/KIOSK54.htmlx
Derniers collages urbains :
voir la série >(voir)
il y a peu :
Il y a peu :
Il y a peu :
Principe de réalité 27 : La lampe rouge (2007-2013) 3 Tirages Lamba 100 x 80 cm contrecollés (300 x 80 cm)
dans l’exposition :
et aussi
Il y a peu :
Il y a peu :
Exposition « Solidaires » Espace D'art Les Salaisons à Romainville jusqu'au 24 mars 2013
Avec les oeuvres de : Roddy Laroche Samsonoff, Tristan Mory, Julie Perin, Michel Castaignet, Dominique Haldenwang-Follenfant, Patrick Mosconi, porte renaud, Ilona Tikvicki, Siam Angie Dots Minou, Gerardo de Pablo, Thibaut Thorez, Guillaume Dimanche, Orion Papleka, JB Labarrière, Eugénie Jan, Jérôme Rappanello, Nathalie Tacheau, Diane Shenouda, Céline Tuloup, Roberto Martinez, Solange Carvalho, Veradias, Eric Poupy et Henrike Stahl, Patrick Gomme, Bertrand Diacre-Piéplu, Jean-Michel Vigezzi, Boris Du Boullay, Gwénaëlle Plédran, Karine Comby, Gwladys Kirschner Letellier
(Photos Roberto Martinez)
Paper Tigers collection, exposition proposée par Mathieu Tremblin au CLA à Rennes du 13 décembre au 17 janvier
avec CÉLINE AHOND, ATELIER DEUX-MILLE, ÉLODIE BRÉMAUD, JULIE BRUSLEY, JOCELYN COTTENCIN, DECTOR & DUPUY, JUSTIN DELAREUX, LOUISE DRUBIGNY, BRUNO ELISABETH, ELTONO, FRANÇOIS FEUTRIE, NIKOLAS FOURÉ , ANTONIO GALLEGO, DAVID GAUCHARD & DAVID MOREAU, RÉMI GROUSSIN, PASCAL LE COQ, HÉLÈNE LEFLAIVE, GLEN LOARER, RICHARD LOUVET, DAMIEN MARCHAL, MARDINOIR, LAURENT MARISSAL/PAINTERMAN, ROBERTO MARTINEZ, SAMIR MOUGAS, NICOLAS MULLER, JULIEN NÉDÉLEC, AURÉLIE NOURY, OX, BLAISE PARMENTIER, PAROLE, PHILÉMON, PIED LA BICHE, BENOÎT POLICE, CATHERINE RANNOU, HUBERT RENARD, DAVID RENAULT, RERO, BENJAMIN SABATIER, FRÉDÉRIC SALLAZ, MANUEL SALVAT, BERTRAND SEGONZAC, CHARLOTTE SEIDEL, AURÉLIE SLONINA, SÉBASTIEN TAILLEFER, MATHIEU TREMBLIN, VINCENT + FERIA, ÉRIC WATIER
(détail de l’exposition)
et aussi :
à partir du 17/11 l'exposition "Des Accords Parfaits"
le CAP de Saints-Fons, L'Espace art plastiques de Venissieux et l'épicerie moderne
Actualité : Colloque Art et espace public 25-26 octobre 2012 à Rouen
Dernière vidéo : De la sculpture 30 (2012) > voir
Derniers collages St Remy de Provence 2012 > voir
Derniers collages Paris 2012 > voir
Il y a peu :
Roberto Martinez et UN NOUS
sont invité au festival international d'art contemporain Alpille Provence
Structure collaborative créée en 2006, UN NOUS n’est ni un groupe ni un collectif mais ses participants collaborent pour certains depuis plus de quinze ans.
Du 5 au 31 juillet 2012
et aussi, actualité Allotopie :
Proposés par Roberto Martinez, les jardins ont été créés dans l’espace public, sur les pelouses du Blosne, avec l’accord et la participation de la Ville de Rennes. Nous vous proposons de renouveler l’expérience cette année (après 2009, 2010 et 2011).
Mieux encore, nous vous invitons à parrainer de nouveaux participants, inviter des amis et voisins à jardiner. Vous remerciant de votre participation, nous comptons sur vous et vous invitons à en parler autour de vous !
Nous vous donnons rendez vous pour une réunion d’information et d’inscription le mercredi 4 avril à 17h au Triangle. Si vous souhaitez d’ores et déjà réserver votre parcelle, n’hésitez pas à vous préinscrire par retour de ce mail ou à l’accueil du Triangle. (> voir)
Dernières éditions :
Publier ]…[ Exposer - Les pratiques éditoriales et la question de l’exposition
(Ecole supérieure des Beaux-Arts de Nimes)
Principes de réalité, Roberto Martinez (Editions è®e numérique 2012)
Dans le catalogue :
Roberto Martinez et UN NOUS répondent aux questionnaire de la Biennale de Lyon :
Dans le projet collectif « UN NOUS », chaque
participant développe, dans sa pratique, un travail
personnel avec différents médiums et différents supports.
En équipe, il n’y a pas de techniques privilégiées,
ni la recherche d’un style UN NOUS.
Nous essayons de donner une forme aux questions sur
l’art traversées par le social, le politique,
l’en-commun. Nous nous interrogeons sur la présence,
le caractère accessible et la visibilité de l’art
dans et hors des lieux dédiés à l’exposition. Mais
au-delà des différents modes d’expression plastiques,
UN NOUS trouve son unité dans l’espace urbain avec un
art libre et public, sous la forme d’affichages
éphémères et anonymes. La rue est perçue comme un champ
d’expérimentation.
En participant à la Biennale à la fois dans les espaces
dédiés à l’art (la Sucrière et le MAC) mais aussi en
intervenant dans l’espace urbain de façon libre, mous
affirmons notre singularité et notre positionnement à la
fois à l’intérieur et en périphérie du monde de
l’art.
Est-il
question de forme dans votre travail ?
Oui, pour l’installation à la sucrière, une question
se posait à nous. Pour évoquer la notion d’utopie
urbaine, avec des éléments de maquettes
d’architecture et des objets quotidiens, jouer sur la
notion d’échelle tant physique que psychologique.Nous
avons choisit de construire, un contenant sous la forme
d’un volume fermé (référant à une cellule
d’habitation) avec des ouvertures rectangulaires
(vitrées de couleurs primaires et secondaires référents
autant à Le Corbusier qu’à Mondrian).
Cette idée d’un volume « lisible » de loin
comme une cellule puis de plus près comme une sculpture et
enfin de près comme une proposition sonore, lumineuse à
différents points de vue sur une ville utopique. Une forme
donc pour résoudre la question du formel et du conceptuel.
Quel lien entre éphémère et durée dans votre
œuvre ?
Pour
nos interventions urbaines, collages, distribution de
tracts, nous choisissons des lieux qui n’ont rien
d’artistique mais qui nous semblent propice à la mise
en valeur de la proposition plastique. Pour les
collages : un grand mur en périphérie, des vitrines en
centre ville peuvent accueillir une grande composition
d’affiches comme une grande fresque, ou bien
seulement une ou deux affiches centrées et rendues ainsi
très lisible.
Nous devons rendre visible. Une distribution de tracts à la
sortie d'une bouche de métro, ou de grands magasins, c'est
aussi très visible. En ce qui concerne la nature de la
rencontre entre l'œuvre et un public potentiel non
spécialiste, cela ne nous semble pas très important qu'il y
ait identification d’une œuvre d'art. Il y a un
accident de parcours. Quelque chose qui n'était pas là, qui
n'a pas de raison d'être là. Mais il y a une forme. Quelque
chose d'identifiable, même si c’est davantage de
l'ordre du questionnement. Evidemment, la réponse
n’est pas donnée. Il y a seulement quelque chose qui
peut paraître inhabituel et qui, si on creuse un peu, peut
être perçue comme une forme artistique et non publicitaire
et le temps de « lecture » ne nous appartient
pas.
Toutes ces interventions sont vouées à être éphémères. Les
affiches peuvent être arrachées, recouvertes, les tracts
jetés… mais cela a existé par le regard et le
questionnement proposé même si la durée est courte. Cette
durée dépend autant de la stratégie (lieux choisies,
accessibilité, pour les collages) que de la répétition,
ainsi que part l’engagement et la conviction pour les
actions urbaines (distributions de tracts…)
Peut-on
échapper à l’institutionnalisation de
l’art (ce terme n’est-il pas déjà
l’expression d’une tautologie) ?
"Ne pouvant empêcher que certaines choses se produisent, on
trouve la paix en fabriquant des étagères où on peut les
ranger." Pier Paolo Pasolini
En tant qu’artiste nous aimerions répondre oui et
notamment avec les allotopies (voir pièce-jointe). Si
l’on prend des exemples comme les interventions de
Beuys balayant la Place Karl Marx, Francis Alÿs, la foie
peu dépasser des montagnes ou - Algunas veces el hacer algo
no lleva a nada, l’œuvre elle-même se passe de
toute institution seule sa médiation future ou son
historicité l’institutionnalise. Au risque de
dénaturer l’œuvre par l’institution, se
confronte la non « socialisation de
l’artiste » sans elle. Refuser
l'instrumentalisation des arts par l'Etat, cela
consisterait à refuser de laisser l'œuvre devenir un
jouet d'animation culturelle, et une pièce dans le jeu de
la patrimonialisation du monde.
Rainer
Rochlitz explique que l’époque contemporaine tend à
institutionnaliser la « révolte » portée par les artistes
en faisant coexister subversion et subvention. Les
subventions accordées à la création, à l’échelle
municipale, régionale, nationale et internationale, se
présentent, comme l’équivalent des « acquis sociaux »
de l’après-guerre. Ainsi, il apparaît que notre
société contemporaine se doit de faire preuve, d’un
esprit d’ouverture, de compréhension et de tolérance
à l’égard de pratiques artistiques qui mettent en
exergue les aspects les plus contestables de la réalité
sociale. Il parle d’ « une réhabilitation de la
tradition dans le prolongement de pratiques artistiques qui
ne cherchaient qu’à les détruire » (1, Rainer
ROCHLITZ, Subversion et subvention. Art contemporain et
argumentation esthétique, Gallimard, 1994, p. 194). Cette
situation institutionnelle limite les possibilités de
l’art de se présenter comme un espace
d’expériences total, y compris dans des institutions
publiques, mais indépendamment de toute allégeance aux «
goûts officiels ». Cette prétention des pouvoirs publics à
accepter l’anticonformisme de certains artistes,
comporte le risque d’une instrumentalisation passant
par la neutralisation de toute dimension subversive du fait
de l’institutionnalisation ?
Comment,
dans quel but, l’institution peut-elle gérer un art
dont la fonction à l’origine fut avant tout la
subversion des formes anciennes et des codes urbains ?
S’agit-il de produire une version édulcorée, de la
subversion originelle ? (...) S’agit-il en un mot
d’une entreprise de récupération ? ».
On peut répondre que oui. Là réside toute la difficulté
pour nous artistes de suivre notre chemin transgressif et
résistant en se passant d’une économie proposée à
récupérer une plus value spectaculaire et qui souhaite un
retour sur investissement (qu’il soit financier,
d’image, de respectabilité,
d’intelligence…)
Dans ce qui nous occupe on peut considérer trois
acteurs : Le premier est l’artiste : dans le
champ de l’art contemporain, son acte artistique est
souvent une transgression. Ensuite il y a les publics,
variés initiés, ou non-initiés. Vient ensuite
l’institution, qui elle, ouvre bien souvent ses
portes à l’artiste transgresseur autorisant ainsi la
transgression. L’attitude de ces trois acteurs
aboutit alors à « la permissivité, [définie par Nathalie
Heinich comme] l’autorisation des transgressions : en
l’occurrence, la transgression des frontières de
l’art, de la morale ou de la loi, autorisée par les
institutions artistiques». Or, une transgression permise
est-elle toujours une transgression ? Comment
l’artiste peut-il être «dissensuel» quand c’est
précisément ce que les institutions lui demandent ? Il
s’agit là du paradoxe permissif qui « consiste à
rendre la transgression impossible en l’intégrant dès
qu’elle apparaît». La transgression devient alors une
nouvelle norme. Ainsi, dans leur quête de transgression, «
les artistes ne cherchent pas davantage d’autonomie,
n’ont pas intérêt à plus de liberté : ils
chercheraient plutôt à rencontrer des contraintes, à
contrer des attentes, à toucher des limites » (2, Nathalie
Heinich, Le triple jeu de l’art contemporain,
Editions de Minuit, 1998).
« Au
demeurant, il existe bel et bien des œuvres d'art qui
ne se résignent à rien, qui transmuent la mondialisation et
notre nouveau rapport à l'histoire en un objet de travail
et de critique. Des œuvres qui prennent à leur charge
le réseau Internet afin de le mettre au service de la cause
artistique, ici et maintenant, et d'un échange avec les
"autres" sphères artistiques. Des œuvres qui disposent
des relations sociales ordinaires pour mieux les faire
valoir. Des œuvres, enfin, qui contribuent à dresser
une analytique de la mondialisation ou des œuvres qui
résistent aux sollicitations de la World culture (ainsi que
l'explique l'article de l'anthropologue Marc Augé, publié
dans le catalogue de la Biennale de Lyon, 2000). » (3,
Christian Ruby in, La "résistance" dans les arts
contemporains »).
Pour
notre part nous restons résolue à être présent à la fois au
centre et à la périphérie. Exposer dans une galerie, un
musée, un centre d’art, une Biennale, et en même
temps produire et faire circuler de façon allotopique hors
de ces lieux (en périphérie) d’autres propositions
plastiques.
« En quoi, tout compte fait, chaque œuvre résiste
constamment et effectivement à l'ordre qui la met en place,
mais silencieusement. Nous en avons un excellent exemple
dans les problèmes soulevés par l'art public, puisque
beaucoup d'œuvres sont placées dans les lieux publics
seulement à titre de décor (réification?), dans l'univers
de la rue qui est soumis à des rationalisations extrêmes
(efficacité, voitures, etc.). Et pourtant, beaucoup d'entre
elles (sans qu'il s'agisse de toutes) résistent, font de
leur côté de la politique, fabriquent de l'hétérogène dans
l'uniforme. » (ibid. 3)
Nous
aimons donc confronter l'art et l'esprit public, multiplier
les relations entre l'un et l'autre, élargir le champ
possible de leurs rencontres critiques. Nous interrogeons
sur la présence, l’accession et la visibilité de
l’art dans et hors les lieux dédiés à
l’exposition.
Un nous
Dans la Revue Urbanisme d’octobre 2011 :
Nouveau : Ma jolie maison
3 (série de photographies depuis 2009)
Rétroviseur, une oeuvre
par semaine :
Certificat
(1995)
crayon sérigraphié avec la
signature + signature au crayon sur chaque certificat
numéroté de 001 à 500
format :13,5 x 21 cm. La
mise en question de la notion d’auteur et de
signature.
Rétroviseur,
une oeuvre par semaine :
Artistes
encore un effort (2006)
Affiche 120 x
85 cm tirage illimité, collées dans l’espace public
depuis 2006
Humeur :
Prochaines expositions
Dernières
apparitions
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