avec Béatrice Duport, Vincent Ganivet, Olivier Kosta-Théfaine, Stéphanie Lefebvre, Roberto Martinez
Vues de l’exposition :
De la sculpture 30, vidéo installation couleur HD, 2012 (Roberto Martinez)
Le peuple manque, peinture blanche sur mur blanc, 2008-2013 (Roberto Martinez)
Bientôt, drapeaux, tissus, bois, plastique, 2013 (Roberto Martinez)
Le peuple manque, peinture blanche sur mur blanc, 2008-2013 (Roberto Martinez)
Inconstruit 1,2013, moquette rouge, 400 x550 x270 cm (Béatrice Duport)
au fond : Le peuple manque, peinture blanche sur mur blanc, 2008-2013 (Roberto Martinez)
+ Bientôt, drapeaux, tissus, bois, plastique, 2013 (Roberto Martinez)
Inconstruit 1,2013, moquette rouge, 400 x550 x270 cm (Béatrice Duport),
Les ailes (sous-titre français de «Les ailes du désir» (Der Himmel über Berlin)de W.Wender 973 post it, 2010 (Stéphanie Lefebvre)
Sans Titre (maison) bâche, bois divers, 2013 (Roberto Martinez)
Sans Titre (maison) bâche, bois divers, 2013 (Roberto Martinez)
Bientôt, drapeaux, tissus, bois, chaise, 2013 (Roberto Martinez)
Bientôt 2, drapeau, tissus, bois, chaise, 2013 (Roberto Martinez)
Bientôt (ensemble de drapeaux 2013) : Des tissus rouges récupérés au gré des rencontres et cousus ensemble. Du bois, manche de balais ou tasseaux. Les deux assemblés en drapeaux posés contre un mur prêts à être mis en mouvement (à défiler).
Est-ce une manifestation à venir issue de bricolage individuel (ou d'énergie de petit groupes) qui semble attendre un prochain départ. Bientôt…
De la sculpture 30 (vidéo installation 2012) : Du rouge qui flotte violemment au vent, qui reste en tension à l'horizontal.
Le peuple manque (2008-2013)Un texte peint en blanc brillant (Le peuple manque) sur un mur blanc mat, que l'on peut ne pas voir (manquer) et qui change de visibilité suivant l'heure et la lumière.
Sans Titre (la maison, matériaux divers 2013) : Un assemblage de matériaux récupérés sur une bâche bleue au sol, comme un abri, une sorte de maison générique . Une présence qu'il s'agit de maintenir, d'entretenir dans un monde violent et de précarité.
Roberto Martinez, avril 2013